![Zoom +](/sites/default/files/zoomify/Assets/Skins/Custom/plus-1.png)
![Zoom -](/sites/default/files/zoomify/Assets/Skins/Custom/moins-1.png)
![Gauche](/sites/default/files/zoomify/Assets/Skins/Custom/gauche-1.png)
![Droite](/sites/default/files/zoomify/Assets/Skins/Custom/droite-1.png)
![Haut](/sites/default/files/zoomify/Assets/Skins/Custom/haut-1.png)
![Bas](/sites/default/files/zoomify/Assets/Skins/Custom/bas-1.png)
![Plein écran](/sites/default/files/zoomify/Assets/Skins/Custom/full-screen-1.png)
![Reset](/sites/default/files/zoomify/Assets/Skins/Custom/taille-normal-1.png)
Portrait-robot d’Iris
![](https://museosphere.paris.fr/sites/default/files/styles/thumbnail/public/pictos/portrait.jpg?itok=wuruFqX7)
Arman (Armand Fernandez, dit, 1928-2005). "Portrait-robot d'Iris", novembre 1960 (boîte). Paris, musée d'Art moderne.
Arman est connu pour ses “Accumulations” : il assemble des détritus, des objets divers qui ont été mis au rebut ou inutilisés. Son travail d’artiste consiste à les choisir et à les agencer, en fonction de leur couleur et de leur forme, au sein d’un support. Ici, il a choisi une boîte vitrée, dans laquelle il a disposé des objets personnels de sa galeriste, Iris Clert : on voit une de ses chaussures à talons, son parfum, son vernis à ongles, ses collants… des accessoires plutôt féminins et inscrits dans une époque bien précise. L’œuvre est un “portrait-robot”, comme ceux que la police fait d’un suspect, à partir d’indices et de témoignages… Ici, on peut imaginer qui était Iris Clert et découvrir un peu de sa personnalité.
![Fermer](/sites/all/themes/custom/museosphere/css/images/croix.png)